Des emplois seront également supprimés dans les magasins Cassis Paprika qui restent ouverts. La chaîne de vêtements procède à une relance allégée, avec moins de personnel et d’autres conséquences dans les magasins conservés.
37 emplois dans les magasins repris
Le 17 octobre, le rideau tombera sur le groupe de mode belge Cassis Paprika. Du moins dans sa forme actuelle : après la faillite, le repreneur Futura Capital Fund s’apprête déjà à redémarrer 70 % de ses activités. En Belgique, cela concernera 37 des 60 magasins, tandis que 118 personnes perdront leur emploi.
Lundi, il était déjà clair que tous les employés des 23 magasins à fermer perdraient leur emploi, mais mardi, lors d’une réunion syndicale avec la direction, il est apparu que des emplois seraient également supprimés dans d’autres endroits. Neuf emplois disparaîtront au siège de Wauthier-Braine (Brabant wallon) et 37 autres dans des magasins qui seront repris.
La faillite d’abord
Alors que Cassis Paprika redémarre sous une autre société après la faillite, le syndicat socialiste prévient qu’il n’y aura pas de treizième mois ni de congés payés pour cette année non plus. Les partenaires sociaux disparaissent également dans un premier temps.
Dix magasins en Wallonie ont été fermés avec effet immédiat cette semaine, deux à Bruxelles et 11 en Flandre. En Flandre, les succursales d’Anvers, d’Alost, de Denderleeuw, de Gand, d’Ypres, d’Izegem, de Kapellen, de Louvain, de Ninove, d’Audenarde et de Turnhout sont concernées.