Contrairement à ce que prétendait la rumeur, la branche néerlandaise du groupe allemand Beate Uhse, spécialiste des accessoires érotiques, n’est pas en faillite. L’entreprise poursuivra ses activités tant aux Pays-Bas qu’en Belgique.
Beate Uhse Shared Services
La semaine dernière on apprenait que la branche néerlandaise de Beate Uhse, dont fait partie Pabo, entre autres, avait demandé la faillite, parce qu’elle n’était pas parvenue à obtenir un prêt de 5 millions d’euros pour assurer l’avenir de l’entreprise. Auparavant la maison-mère allemande avait également demandé la faillite.
A présent la branche néerlandaise vient de démentir les rumeurs d’une faillite. Par contre Beate Uhse Shared Services, qui tout comme la branche néerlandaise de l’entreprise est basé à Walsoorden, a bel et bien fait faillite, ce qui entraînera la perte d’une soixantaine d’emplois.
Selon Michael Specht, CEO de Beate Uhse, ceci était nécessaire pour permettre une relance du groupe allemand. Fin 2017 Beate Uhse a essayé de refinancer un prêt de 30 millions d’euros, mais n’y est pas parvenu, après quoi l’entreprise a décidé de déposer le bilan afin de procéder à une restructuration.
Beate Uhse Netherlands survit grâce à un prêt de 5 millions d’euros du britannique Prime Capital Debt, écrit Omroep Zeeland.