Le rush écologique a laissé des traces
« La ruée sur les voitures écologiques au mois de décembre a indéniablement laissé des traces », affirme le porte-parole de la Febiac, Joost Kaesemans, «bien que le nombre de contacts et d’offres établis durant le salon ait dépassé les attentes de la plupart des exposants. » A signaler toutefois que la crainte d’un recul des ventes étant bien présente, de nombreux exposants ont revu leurs prévisions à la baisse.
Les chiffres de vente concrets ne sont pas encore connus, car la plupart des offres émises durant le salon donneront lieu ou non à un contrat durant les semaines à venir.
« Suite au manque de précision quant au nouveau régime fiscal sur les voitures de société, le marché fleet est pour l’instant dans l’expectative », estime la Febiac.
30 tonnes de papier économisées
L’E-card, primeur mondiale, qui a été testée pour la première fois au Salon de l’Auto, a fait mouche : plus de 250.000 catalogues numériques ont ainsi été téléchargés par les visiteurs. Cette carte révolutionnaire a permis au final d’épargner 30 tonnes de papier.
D’autre part le modèle électrique a remporté un franc succès avec plus de 500 tests par jour effectués sur une piste prévue à cet effet.
Traduit par Marie-Noëlle Masure