Greenyard a augmenté son chiffre d’affaires de 4,4 % au cours du dernier trimestre. Les volumes ont grimpé malgré des « conditions météorologiques difficiles en Europe », une tendance contre laquelle le transformateur de légumes met en garde.
Impact du changement climatique
Au cours du dernier premier trimestre de son exercice brisé, le chiffre d’affaires net comparable de Greenyard a augmenté de 4,4 % pour atteindre 1,34 milliard d’euros. Cette croissance est principalement due à l’augmentation des volumes (+2,8 %) et des ventes de services (+1,0 %). Il n’y a eu qu’une légère augmentation des prix de 0,6 %.
Dans le segment des produits frais, le chiffre d’affaires net a augmenté de 3,8 % pour atteindre 1,09 milliard d’euros, grâce à une hausse de 4,1 % des volumes vendus. Le marché allemand, en particulier, a été très compétitif, ce qui a entraîné une légère baisse des prix de 1 %. Les produits surgelés et les conserves ont progressé de 7,1 %, mais là bien grâce à des augmentations de prix – celles de l’année dernière continuent de faire leur effet.
Le PDG Francis Kint est fier de ces résultats, surtout au vu de la volatilité des conditions météorologiques au cours du trimestre : « Notre secteur subit de plein fouet les effets des fluctuations météorologiques. Alors que les producteurs et l’industrie s’adaptent constamment à ces dynamiques agricoles en constante évolution, les clients remarqueront également ces effets à l’avenir, notamment à travers la pénurie ou l’augmentation des prix. »