Cette année, Casper, une formule gantoise de « dark kitchens », débarque dans deux nouvelles villes : à Bruxelles et à Louvain, les consommateurs pourront bientôt commander des plats auprès de ses restaurants virtuels.
Un départ sur les chapeaux de roues
Casper a décollé en 2020 : misant sur la tendance croissante des cuisines fantômes – particulièrement durant cette pandémie – l’entreprise propose des repas issus de différentes cuisines, allant des plats asiatiques au vol-au-vent végétarien, exclusivement à emporter ou à livrer à domicile. Avec la fermeture de l’horeca engendrée par la deuxième vague de Covid-19, la formule voit une opportunité de se développer : après Gand et Anvers, elle fera son entrée à Bruxelles et Louvain cette année.
Différentes marques sont réunies au sein de ces « cuisines fantômes », c’est-à-dire des cuisines sans table ni espace de restauration. « Avec Casper, nous préparons une large gamme de repas de grande qualité à emporter et à livrer dans un packaging durable », explique le PDG Matthias Laga. Ainsi, les recettes ont été spécialement conçues pour la livraison à domicile et des matériaux durables sont utilisés pour l’emballage des plats.
Casper se différencie également par sa collaboration avec de grands noms du secteur alimentaire, comme le cofondateur de la chaîne de spaghetti Bavet, Pascale Naessens cheffe cuisinière star de la télévision et le Boucher Végétarien. Contrairement à de nombreuses cuisines fantômes, la chaîne offre également une salle d’attente physique pour les livreurs pourvue d’un jeu d’arcade et d’un espace salon dans lequel est – littéralement – diffusée de la musique d’attente.