Le retail online a ses frontières
L’internationalisation nécessite une approche stratégique bien réfléchie. Les retailers ayant échoué à l’étranger, parce n’ayant pas tenu compte des spécificités du marché international (souvent des pays voisins), sont nombreux.
Sur internet le monde semble plus uniforme et donc par définition illimité. Mais que les acteurs online ne s’y trompent pas. Les frontières et les différences culturelles existent réellement, bien que souvent invisibles sur la toile internationale. D’autre par les défis pratiques du e-commerce international ne sont pas à sous-estimer.
11 C pour l’internationalisation
Lors du séminaire eCommerce eXchange, ces défis et ces expériences seront abordés par des retailers online et des experts en e-commerce. Martin Newman, un véritable vétéran du e-commerce britannique et international, ancien responsable e-tail notamment chez Burberry, Ted Baker et Harrods, a mis au point un modèle, afin de parcourir pas à pas les principaux éléments de l’internationalisation online : le modèle 11 C.
Mais avant de nous dévoiler sa méthode, c’est Brit Hash Ladha qui ouvrira la séance le 26 avril. En tant que directeur multichannel du groupe Aurora Fashion (notamment Karen Millen et Oasis) – et de par ses expériences passées chez Asos et New Look – il nous parlera du retail multicanal en tant que tel. Ensuite José Cledera (COO Quiksilver) se concentrera sur le branding et l’environnement multicanal.
Thierrry Geerts, CEO de Google Belgique, nous expliquera le rôle du moteur de recherche lors du lancement d’un commerce multicanal. L’importance grandissante du canal mobile nous sera exposée par Peter Grypdonck, n°1 de Vente-Exclusive.com. Et pour terminer les défis logistiques seront abordés par Dries De Love, chef du département e-commerce de Katoen Natie.
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Traduit par Marie-Noëlle Masure